Les menstruations sont parfois vécues comme une corvée pour certaines femmes. En plus de l’inconfort qui découle de cette période, elles doivent tout mettre en œuvre pour éviter les fuites. Celles-ci sont récurrentes pendant le sommeil. Il n’est pas toujours évident de dormir sans tacher le drap. L’accent est donc mis sur le dispositif de protection. En fonction de la physionomie et des moyens financiers, chaque femme choisit celui qui lui convient.
Ainsi, les tampons, les serviettes hygiéniques jetables, les garnitures lavables, les coupes et les culottes menstruelles sont leurs alliés mensuels. Encore appelées culottes périodiques, les culottes menstruelles de nuit absorbent efficacement les sécrétions menstruelles. Disponibles en ligne et dans les espaces de vente ordinaire, elles font l’objet de convoitise industrielle. Plusieurs caractéristiques sont d’ailleurs à leur actif.
Sommaire
Le côté pratique des culottes menstruelles de nuit
De jour comme de nuit, les culottes menstruelles sont de loin pratiques par rapport aux protections ordinaires. Elles sont très confortables, d’autant plus que ce sont des sous-vêtements. Plusieurs tailles sont disponibles. Il suffit de les enfiler et le tour est joué. Pas besoin de s’encombrer avec des dessous serrés. La constitution de ses fibres empêche la production d’odeurs désagréables.
Les athlètes en raffolent, car elles sont discrètes et peuvent être portées en toutes circonstances. En outre, elles sont économiques et peuvent être utilisées pendant plus de 5 ans si elles sont bien entretenues.
Le volet sécuritaire des culottes menstruelles
Plusieurs substances chimiques toxiques à l’instar du chlore et des pesticides sont utilisées pour fabriquer les protections féminines. Celles-ci provoquent parfois des infections gynécologiques plus ou moins graves. Ce phénomène se produit suite au contact entre le sang accumulé et les toxines de protection. La macération des déchets favorise le développement des microbes et bactéries qui se propagent au niveau de l’appareil génital féminin.
Fort heureusement, les risques d’infection sont considérablement réduits grâce aux culottes de menstruation de nuit. Elles sont constituées de matières non toxiques. Cependant, l’accent doit être mis sur l’entretien. Il suffit donc de les laver convenablement et de ne pas les sécher dans des endroits à risque.
La grande capacité d’absorption des culottes menstruelles de nuit
Pendant le sommeil, le flux des règles est abondant. Grâce à ces culottes, les femmes n’ont pas besoin d’écourter leur sommeil pour changer leurs protections. Une seule culotte équivaut à 4 garnitures. Elle remplace donc valablement les tampons ou serviettes qu’il faut remplacer après 2 heures. Les culottes menstruelles de nuit résistent pendant plus de 6 heures.
Lorsqu’elles sont pleines, il n’y a aucun risque de fuite et encore moins d’humidité comme c’est le cas avec les protections classiques. Ainsi, le sommeil devient paisible. Il est néanmoins conseillé de choisir des culottes pour grand flux.
L’aspect écologique des culottes menstruelles
Le caractère polluant des protections ordinaires ne cesse d’être démontré. En effet, celles-ci sont majoritairement constituées de plastiques. Après usage, elles sont jetées dans les poubelles pourtant, bon nombre d’entre elles ne sont pas biodégradables. Par conséquent, elles constituent un véritable danger pour l’environnement.
Au regard du taux élevé de la gent féminine au sein de la population mondiale, les risques de destruction du sol sont donc très élevés. Ceci est dû aux tonnes de déchets qu’elles déversent dans la nature. Raison pour laquelle les culottes menstruelles doivent être utilisées. Elles n’entraînent aucune production de déchets. Leurs fabricants mettent aussi un accent particulier sur le choix des matières écologiques. Une fois dans la nature, elles ne constituent aucun danger.
Conclusion
Il n’est nullement question de faire le procès des autres protections menstruelles. Il est plus qu’important de démontrer les bienfaits des culottes menstruelles. Elles sont en fait devenues indispensables, pratiques et économiques. Il est difficile de s’en passer. Du point de vue sanitaire, elles empêchent le développement des microbes responsables des infections gynécologiques. En outre, elles ne constituent aucun danger pour l’environnement. Raison pour laquelle elles méritent une attention particulière.